dimanche 26 mai 2013

Comptines d'une désespérée


Je suis de ces casseroles qui pourtant prennent plaisir à chantonner. Allez j'avoue, par moments il m'arrive même de croire que je chante bien. Et à l'heure où je vous cause, il y en a un autre qui croit encore que je détiens la voix la plus merveilleuse du monde. Du coup, tant que mon Famous-mini accepte d'être bercé par cette douce voix illusion, j'en profite un max. Toute comptine digne de ce nom est passée au moins une fois par mes cordes vocales. C'est dire si je connais le doss' sur le bout des doigts.



Les comptines, ces douces mélodies que nous fredonnons machinalement à nos marmots, comme le faisaient nos parents, et nos grands-parents avant eux. J'ai bien dis « machinalement », on les connaît tellement par cœur, qu'on ne réfléchit même plus au message que l'on transmet à notre sainte progéniture.
Et pourtant, je vous promets, il y a de quoi s'arrêter 2 secondes sur cette affaire.

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